S’organiser pour les fêtes

S’organiser pour les fêtes

S’organiser pour les fêtes

Pendant les fêtes de fin d’année, les soirées d’entreprise, les repas de famille et le réveillon sont souvent accompagnés d’alcool. Pour que la fête soit vraiment réussie, il est essentiel de rentrer chez soi en toute sécurité. Alcool et conduite ne font pas bon ménage, alors pensez à organiser votre retour à l’avance !

Une période accidentogène

Les festivités de Noël et du 1er de l’an réunissent les ingrédients d’un cocktail mortel.

Des soirées bien arrosées :

  • En 2023, près d’un tiers des accidents mortels impliquait un conducteur alcoolisé.
  • 65 % des accidents mortels avec alcool se produisent la nuit.
  • La moitié des conducteurs alcoolisés impliqués dans un accident mortel a entre 18 et 34 ans.

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des conducteurs alcoolisés impliqués dans un accident sont des hommes.

Evenements d’entreprise

Dans les entreprises, la responsabilité de l’employeur peut être mise en cause en cas d’accident de la route survenu lorsque le salarié rentre chez lui après avoir consommé de l’alcool dans l’entreprise ou lors d’un évènement organisé par celle-ci.

 

Dans le cadre privé

Vous accueillez famille et amis lors des fêtes. Votre responsabilité peut être engagée pour complicité de conduite sous l’empire d’un état alcoolique si vous laissez une personne alcoolisée prendre le volant.

Ne laissez pas vos amis ou les membres de votre famille qui ont bu prendre le volant.

PRÉVOYEZ
VOTRE RETOUR

Pour éviter qu’une soirée ou un repas ne se termine de façon tragique, avant de boire, préparez votre retour!

• Le SAM permet de s’organiser entre amis pour que l’un d’entre vous ne consomme pas d’alcool;
• utiliser les transports en commun ou appeler un taxi;
• attendre sur place que votre alcoolémie diminue et la tester avec un éthylotest avant de repartir.

 

teztez-vous !

Mesurez votre alcoolémie avec un éthylotest.

Le taux d’alcool atteint son maximum 30 minutes après une absorption à jeun et 1 heure après une absorption au cours d’un repas.

Zones à faibles émissions mobilité

Zones à faibles émissions mobilité

Zones à faibles émissions mobilité

Les zones à faibles émissions ont été initiées en 2015 pour lutter contre la pollution atmosphérique et améliorer la qualité de l’air en limitant l’accès aux agglomérations et métropoles, aux véhiculent les plus polluants.

Chaque année, la pollution atmosphérique cause près de 47 000 décès en France, particulièrement dans les grandes agglomérations.

Le transport routier est le principal émetteur de polluants atmosphériques. Il est l’activité qui contribue le plus aux émissions de gaz à effet de serre (GES) en France. En 2019, il représentait 31 % des émissions nationales de GES.

Les véhicules particuliers sont responsables de plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur des transports.

De plus, 70% des déplacements domicile-travail sont réalisés avec des véhicules individuels, la majorité en voiture seule. On estime à 3 % la part du covoiturage quotidien.

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des trajets domicile-travail en voiture individuelle

Principe d’une zone à faibles émissions

Une Zone à Faible Émission est un périmètre géographique où la circulation des véhicules est restreinte en fonction de leur niveau de pollution. Le système des ZFE s’appuie sur le dispositif des vignettes Crit’air, aussi appelées certificat qualité de l’air.

Les véhicules sont classés en fonction de leurs émissions de CO₂ et de particules fines. Les plus polluants, comme ceux sans vignette ou classés Crit’Air 5, se voient interdire l’accès.

Les critères d’accès varient selon les villes et peuvent évoluer avec le temps pour devenir plus stricts.

Ces zones s’appliquent en priorité dans les grandes agglomérations où les niveaux de pollution dépassent régulièrement les seuils autorisés par l’Union européenne.

12 ZFE existent déjà

Le calendrier

L’interdiction de circulation des véhicules polluants est progressive dans les ZFE :

  •  Crit’Air 5 : interdiction de circulation au 1er janvier 2023
  • Crit’Air 4 : interdiction de circulation au 1er janvier 2024
  • Crit’Air 3 : interdiction de circulation au 1er janvier 2025

Certains agglomérations accordent des dérogations.

Les prochaines ZFE

Au 1er janvier 2025, les ZFE-m passeront de 12 à 43 agglomérations. Les villes de plus 150 000 habitants ont l’obligation de mettre place une ZFE-m.

où commander sa vignette.

Le seul site officiel permet de commander la vignette Crit’Air.

Attention aux sites frauduleux et autres démarchages !

Munissez-vous de votre certificat d’immatriculation (anciennement carte grise).

Les sanctions

Circuler avec un véhicule non autorisé ou sans vignette Crit’Air dans une zone à faibles émissions mobilité vous en coutera une contravention de 3ème classe de 68 € si vous possédez un véhicule léger et de 4ème classe de 135 € pour un poids lourds.

Les Zones à Faibles Emissions mobilité sont l’ocassion de repenser nos déplacements professionnels.

Le covoiturage et les transports en commun sont des alternatives durables qui contribuent à réduire la congestion routière et les émissions de gaz à effet de serre, tout en offrant des options de déplacement accessibles à tous.

Jérémie Carlo

Conseiller prévention, Diarbenn Solutions

Consulter son solde de points

Consulter son solde de points

Consulter son solde de points

Vous avez eu plusieurs contraventions avec pertes de points ! Vous avez un doute sur le solde restant sur votre permis ! La plate forme « Mes points permis » vous permet de consulter votre capital de points. Plus de 90% des conducteurs ont au moins 10 points sur leur permis.

Perte de points

Le non-respect du code de la route peut entrainer une perte de points. Selon la gravité de l’infraction, vous pouvez vous faire retirer entre 1 à 6 points. Lorsque vous commettez plusieurs infractions en même temps, vous subissez un retrait de 8 points maximum.

Alcool

Vitesse

Stupéfiants

Téléphone

Les services

Vous avez accès aux informations liées à votre permis :

  • Historique des pertes et récupérations de vos points sur 10 ans
  • Calendrier prévisionnel de restitution automatique de vos points perdus sous réserve de l’absence de nouvelle infraction
  • Relevé d’information restreint (RIR)
  • Relevé d’information intégral (RII),

Très pratique pour les titulaires des catégories D et C, la plateforme vous permet en un coup d’oeil de voir la validité de votre permis de conduire vis à vis de votre visite médicale périodique.

Dans le cadre du suivi des permis mis en place par votre entreprise, vous pouvez communiquer à votre employeur votre Relevé d’Information Restreint.

Comment se connecter

  • Aves l’accès FranceConnect utilisé pour accèder aux différents sites des administrations,
  • ou directement avec votre compte (si vous n’avez pas de compte, il est proposé d’en créer un).
  • Dans les 2 cas, vous avez besoin de votre n° de dossier (NEPH).

Numéro NEPH

Votre numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé (NEPH) se trouve au dos de votre permis en format carte. Pour les anciens permis, ce numéro se situe à gauche de la photographie.

Bon à savoir

Depuis le 1er janvier 2024, les excès de vitesse inférieurs à 5 km/h n’entraînent plus la perte d’un point du permis de conduire.

Vous êtes simplement redevable de l’amende forfaitaire (45 € hors agglomération, 135 € sur les portions à 50km/h et agglomération). 

Adrien Queinnec

Conseiller prévention

Conduire en hiver : se prémunir des risques ?

Conduire en hiver : se prémunir des risques ?

Conduire en hiver : se prémunir des risques ?

Conduire en hiver : comment se prémunir des risques ?  Les jours raccourcissent, les températures chutent, plus de doute, l’hiver arrive à grands pas. C’est le moment de vérifier ou de faire vérifier certains équipements de votre véhicule.

Contrôler

Etre vu et voir

S’équiper en pneumatiques

Les différents points de contrôle

  • Un contrôle technique à jour.✅
  • Des balais d’essuie-glaces en bon état.✅
  • Des plaquettes de freins fonctionnelles.✅
  • Tous les fluides nécessaires : liquide lave-glace hiver, de refroidissement et de l’huile moteur.✅
  • Des pneumatiques adaptés et bien gonflés.✅
  • Des feux en parfait état de fonctionnement.✅

Utiliser les bons feux

Usages des feux

Sur tous les véhicules existants, chaque feu a une utilité bien spécifique.

Voir et être vu

Comme le montre la vidéo suivante, les piétons sont les premières victimes du manque de visibilité pendant les périodes où la météo est dégradée.

En plus d’avoir des feux en parfait état de fonctionnement, il est essentiel de dégivrer et désembuer entièrement son pare-brise avant de prendre la route.

des pneumatiques adaptés et bien gonflés

Les pneumatiques constituent la seule liaison directe entre le véhicule et le sol. Leur usage et leur entretien sont donc essentiels pour la sécurité. Si l’adhérence dépend en grand partie des pneumatiques, celle-ci varie également en fonction de l’état de la chaussée et des conditions climatiques. Elle est réduite de moitié sur sol humide, divisée par 4 sur la neige, quasiment nulle sur du verglas.

Notre premier conseil est d’avoir une roue de secours dans votre coffre pour parer toute situation de crevaison.

Pour appréhender au mieux l’hiver, nous vous conseillons fortement d’équiper votre véhicule de pneus Hiver avant la saison.

Vous devez également faire vérifier la pression, l’équilibrage et le parallélisme de ces derniers.

Nos conseils de conduite en hiver

 

  • Adaptez votre vitesse aux conditions météorologiques.
  • Augmentez les distances de sécurité avec les véhicules que vous suivez.
  • Évitez les manœuvres brutales. Sinon, vous risqueriez de perdre de l’adhérence.
  • Anticipez à l’approche des ponts et sous-bois car la route y est plus froide. Des plaques de verglas s’y forment régulièrement.
  • Méfiez-vous des cuvettes, l’eau peut s’y être accumulée.
  • Ralentissez avant les ronds-points. Privilégiez le sous-régime au surrégime.
  • Si vous être surpris par un passage glissant, ne pas freiner.

Loi montagne 

Afin d’améliorer la circulation sur les routes dans les régions montagneuses et la sécurité des usagers, il est désormais obligatoire d’équiper son véhicule de pneus hiver ou de détenir des chaînes ou chaussettes à neige, du 1er novembre 2024 au 31 mars  2025, dans certaines zones montagneuses.

Véhicules concernés : Tous les véhicules à quatre roues et plus.

Quels panneaux pour signaler ces zones ?

Des panneaux routiers indiquent aux usagers de la route, les entrées et les sorties de zones montagneuses où l’obligation d’équipements hivernaux s’applique.

Un panonceau précise la période hivernale, afin de rappeler aux usagers que ces obligations ne s’appliquent que du 1er novembre au 31 mars. La signalisation est nécessaire pour que la mesure soit opposable.

Quelles sont les zones concernées ?

34 départements sont soumis à l’obligation.

Cette carte, tirée de l’observatoire des territoires, nous montre les zones concernées par l’obligation d’équipements hivernaux pour tous les véhicules. Cette carte à pu être élaborée à l’issue des consultations locales, menées à l’échelle de chaque massif par les différents préfets.

 

Nouveauté au 1er novembre 2024, seuls les pneumatiques labellisés 3PMSF sont équivalents aux chaînes.

Il est toujours possible d’utiliser d’autres « pneus neige », mais compléter par les chaînes pour circuler du 1er novembre au 31 mars dans les zones concernées par la mesure.

Jérémie Carlo

Conseiller prévention, Diarbenn Solutions

Conduire une voiture électrique

Conduire une voiture électrique

Conduire une voiture électrique

La voiture électrique modifie nos habitudes de conduite. Il faut maintenant organiser notre déplacement en fonction de l’autonomie de la batterie et du temps de chargement.

Ne pensez plus en nombre de kilomètres
mais en pourcentage de batterie (kWh).

Repenser ses déplacements

L’autonomie de la batterie et le temps de chargement modifient votre utilisation du véhicule.

Il faut maintenant organiser votre déplacement en tenant compte de certains paramètres :

  • Distance aller et retour à parcourir. Aurais-je besoin de recharger sur mon parcours ? Y a t’il une borne ?
  • Type de routes : sur les routes à 110 Km/h, vous consommerez beaucoup plus de batterie.
  • La météo vous imposera l‘utilisation des équipements gourmands en énergie (chauffage, climatisation, essuies-glaces…).

Gestion des recharges

Gérer son autonomie, c’est organiser son temps de recharge.

Pour les petits trajets (-50km dans la journée), la recharge quotidienne au domicile ou sur le lieu de travail est l’idéale.

Pour les trajets plus long, prévoyez un arrêt de recharge. De nombreuses applications existent pour localiser les bornes.

Les charges rapides permettent en 30min de charger 80% de la batterie.

Conduire autrement

L’autonomie du véhicule est surtout liée à votre style de conduite.

La conduite anticipative est adaptée à l’utilisation d’un véhicule électrique. L’anticipation permet une conduite plus souple et plus sécuritaire.

    • Gardez vos distances de sécurité pour éviter de freiner aux deniers moments.
    • Utilisez le frein régénératif. En décélérant, la batterie se rechargera.
    • Limitez les accélérations et freinages brusques

Conduite à une pédale

En ville, le véhicule électrique permet la conduite à une pédale (accélérateur).

Le véhicule électrique est en boite automatique couplée à un frein régénératif (mode spécifique frein régénératif). Celui-ci profite de la décélération du véhicule pour recharger la batterie.

Dès le relâchement de l’accélérateur, la voiture freine jusqu’à 10 km/h. C’est un gros frein moteur. Vous conduisez quasiment qu’avec la pédale d’accélérateur. La batterie se recharge et les plaquettes s’usent beaucoup moins.

Pour cela, optez une conduite anticipative.

Moins consommer

Frein régénératif

Les véhicules électriques comportent un frein régénératif qui permet de générer de l’énergie directement injectée dans la batterie lors de la décélération. Ce dispositif joue le rôle de prolongateur d’autonomie grâce à la récupération d’énergie, tout en préservant les plaquettes de frein.

Il est recommandé de l’activer, surtout en conduite en ville. Cela permet d’avoir une conduite plus souple ; la voiture ralentie dès que l’on n’accélère plus, sans avoir à freiner.

Si le mode frein régénératif n’est pas activé, la décélération est modérée lorsque le pied quitte la pédale d’accélérateur ; la sensation de décélération est proche de celle d’un véhicule thermique à boîte automatique.

La décélération est augmentée lorsque le mode « B » est enclenché. La décélération est accentuée au lâcher de la pédale d’accélérateur. La récupération d’énergie est aussi plus importante.

Limiter les accélérations

Ne possédant ni embrayage ni levier de vitesse, le véhicule permet d’atteindre une vitesse élevée très rapidement sans que le conducteur ait à effectuer certaines manipulations.

L’automobile électrique bénéficie ainsi d’une accélération rapide, dont on n’est pas toujours conscient lorsqu’on utilise ce type de véhicule pour la première fois.

Il est conseillé d’éviter les accélérations intempestives et conduire de manière plus sereine. Cela permet une plus grande maitrise du véhicule et cela permet également de limiter la consommation d’énergie et gagner ainsi des kilomètres d’autonomie

Manoeuvrer

Méfiez-vous ! Dès que vous relâchez le frein la voiture se mettra en mouvement. Gardez votre pied sur le frein et dosez votre vitesse. Les manœuvres dans le parking nécessitent votre plus grande vigilance. L’à-coup de départ peut surprendre.

En marche arrière dès les premiers bips du radar de recul, n’hésitez pas à vous arrêtez pour compenser l’effet d’à-coup lorsque la voiture se met en mouvement.

La conduite anticipative

La conduite anticipative

La conduite anticipative

Nos habitudes de conduite ont évolués. La hausse des coûts de l’énergie et l’arrivée des véhicules électriques ont modifiés notre façon de penser nos déplacements. Economiser du carburant ou la batterie de son véhicule nous obligent à adapter notre comportement sur les routes. La conduite anticipative est l’un des moyens permettant de réduire consommation d’énergie et accident de la route. 

La conduite anticipative

Le principe de la conduite anticipative ou préventive est de se prémunir des situations dangereuses sur la route. Le conducteur identifie les risques et adapte son comportement en conséquence.

La conduite anticipative est souvent associée à l’écoconduite car l’anticipation permet une conduite plus souple et plus sécuritaire.

Le style de conduite (donc le comportement) a une influence sur votre consommation de carburant allant de 20 % à 40%  en moins.

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Surconsommation en carburant

Adopter une conduite anticipative

Un conducteur doit toujours être prêt à réagir face aux dangers.

Pour vous aider à anticiper les situations sur la route et à éviter l’accident, il vous faut comprendre la mécanique de la prise de décisions dans votre véhicule :

Observer

Analyser

Agir

Observer

  • « Je vois »

Le travail du regard est primordial. Le conducteur balaye du regard à proximité, sur les côtés et loin devant. Il recherche les éléments à prendre en compte au alentour (autres usagers, signalisation, configuration des lieux…).

  • « Je ne vois pas »

Ce que l’on ne voit pas à également son importance. Le conducteur recherche aussi à identifier les zones d’incertitudes.

Par exemple, un poids-lourds circulant sur un giratoire limitera votre visibilité sur les usagers se trouvant peut-être derrière.

Analyser

Le conducteur cherche à comprendre ce qui risque de se passer en émettant des hypothèses. Il prévoit les scénarii les plus probables et les plus défavorables.

L’expérience est ici importante.

L’erreur à ne pas commettre est de rester sur son ressenti personnel. Il faut réussir à se mettre à la place de l’autre en tenant compte de ses spécificités (types de véhicules, expérience de conduite/jeune conducteur ou conduite accompagnée/séniors/touristes…).

Agir

Vous avez un doute sur une situation. Il faut lever le doute.

Les moyens d’agir sont :

 

  • la vitesse : En adaptant votre vitesse d’approche, la situation peut évoluer et confirmer votre choix.
  • les distances de sécurité : Elles vous permettront de pas subir les actions brusques des autres et vous offriront une meilleure visibilité sur ce passe à un peu plus loin.
  •  la communication : Plus vous êtes clairs avec les autres moins ils seront surpris par vos actions ou votre comportement.

Quelques situations

En circulation dense :

  • Gardez des distances de sécurité permet de d’es de pas s’arrêter totalement dans les circulations en accordéon.
  • A l’approche d’un feu tricolore rouge, anticipez votre ralentissement pour temporiser son passage au vert et laisser le temps aux autres usagers de redémarrer.

Les giratoires:

  • Lorsqu’un autre usager devant vous s’approche d’un giratoire, préparez-vous à ce qu’il s’arrête. Votre analyse n’est pas forcément la même que celle du conducteur de devant.
  • Maitrisez votre vitesse. En arrivant plus lentement, la situation aura peut-être évolué en votre faveur.
  • Communiquez sur vos intentions avant d’agir. Tous les moyens sont bons (clignotants, frein, positionnement sur la chaussée…).

Les piétons :

  • A l’approche de lieux fréquentés par les enfants, préparez-vous à ce qu’ils se comportent de façon surprenante.
  • Maitrisez votre vitesse afin de pouvoir vous arrêter plus rapidement en cas de danger.
  • Soyez prêt à appuyer rapidement sur la pédale de frein (pied face au frein).
  • Arrêtez-vous complètement aux passages piétons, tant que votre véhicule n’est pas stoppé, les enfants ne traverseront pas.