Choc avec les animaux
Chaque année, de nombreux automobilistes sont confrontés à des collisions avec des animaux sauvages, notamment des sangliers, chevreuils ou renards. Ces accidents, souvent imprévisibles, peuvent entraîner des dégâts matériels importants, voire des blessures graves.
Les risques de collision
Ces animaux surgissent souvent sur les routes comme venus de nulle part. Massifs et rapides, ils peuvent avoir un comportement imprévisible.
Une collision peut entraîner :
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- Des dégâts matériels importants (carrosserie, pare-brise, etc.).
- Des blessures pour les occupants du véhicule.
- Des risques plus graves : perte de contrôle, sortie de route, collision avec un autre véhicule.
Les moments et lieux
Les accidents surviennent principalement :
La nuit
A partir d’octobre, Les jours sont plus courts. Ils coïncident avec les flux de véhicules et l’activité des animaux sauvages.
Les cultures
Les champs avec des cultures hautes peuvent cacher les animaux et vous surprendre. Ils se déplacent à la recherche de nourriture. Ils ne considèrent pas la route comme un danger et s’y aventurent sans crainte.
Les forêts
Bois, bosquets, fôrets sont les lieux propices aux traversées des animaux.
Proches des villes
La multiplication des animaux sauvages les pousse de plus en plus à se rapprocher des zones d’habitation.
Nos conseils
Conseils pour éviter les accidents
- Ralentir dans les zones signalées par des panneaux « passage d’animaux ».
- Redoubler de vigilance à l’aube et au crépuscule.
- Utiliser les feux de route quand la circulation le permet, pour repérer les yeux des animaux.
- Observer les bas-côtés : un animal seul peut être suivi par d’autres.
- Ne pas klaxonner ni faire de gestes brusques, cela peut provoquer une réaction imprévisible.
- Garder ses distances avec le véhicule précédent pour avoir le temps de réagir.
Que faire en cas de choc ?
- Sécuriser la zone : allumez les feux de détresse, placez le triangle de signalisation.
- Ne pas approcher l’animal, surtout s’il est blessé.
- Contacter les autorités (police, gendarmerie ou services de voirie).
- Photographier les dégâts et l’animal si possible.
- Déclarer l’accident à votre assurance, en précisant les circonstances et en joignant les preuves.